J'ai ouvert ce blog il y a presque un an.
Il fallait cracher la colère, vomir le manque, gerber le désespoir.
Certains amis très chers le lisent, mais la plupart du temps je n'ai aucune idée de qui se cache derrière les statistiques.
A une exception près.
Que tu sois à Paris, en Afrique du sud, au Sri Lanka, je sais que c'est toi.
Je voudrais te dire que je ne t'en veux pas, et qu'à ta place je ferais exactement pareil.
On est meilleure que le FBI quand on veut obtenir des infos qui comptent.
Je ne sais pas si j'écrirai encore ici, mais comme on est presque voisines, je crois que tu sais où me trouver si tu veux arrêter de te planquer, prendre un café et échanger. En vrai.
